Il a représenté la RDC à la COP 21

Serges Tshilewu Kalala, ce digne fils du Kasaï-Oriental qui a défendu l'honneur de la République Démocratique du Congo à la Conférence sur le climat à Paris. Sa prestation a été saluée par tout le monde. 

Les menaces sur la  biodiversité de la réserve de Sarambwe au Nord Kivu

Un extrait du rapport 2015 de L'UECN

UECN est une organisation environnementale de la société civile et dont la vocation reconnue est de protéger l’environnement en général et en particulier la biodiversité du Parc National des Virunga. UECN se veut respectueuse de différents textes et lois de la République Démocratique du Congo régissant le secteur de l’environnement.

Cette organisation exprime sa détermination à pouvoir accompagner le processus de la bonne gouvernance dans la protection et la réhabilitation des écosystèmes et la protection  de biodiversité du Parc National des Virunga.

Elle prône comme piliers de la bonne gouvernance, à savoir: l’autorité, la capacité et le pouvoir sur plusieurs activités du lac Edouard, l’états d’envahissement du Parc National des Virunga, éducations environnementales et une étude sur la problématique de la Réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts, et cela pour promouvoir un environnement sain et durable dans lequel les gens peuvent vivent en harmonie avec la nature.

BREVE PRESENTATION DU RESULTAT DE LA RECHERCHE SUR ETUDE DES MENACES EXERCEES SUR LA BIODIVERSITES DE LA RESERVE DE SARAMBWE

<SECTEUR CENTRE DU PARC NATIONAL DES VIRUNGA 2015>

La consommation de viande de brousse a ses traditions. La plupart des Africains étaient des chasseurs dans le passé à la recherche de l'ivoire d'éléphants avec l'échange de devises. La forêt de la République démocratique du Congo, steppes et savanes ont une très riche faune et flore.

La consommation de viande de brousse et l'abattage des éléphants n'est pas limité, même dans les villages et pendant tout ce temps la menace de graphique pour les éléphants est élevé parce que les agriculteurs d'être complice dans le massacre parce que leurs champs sont à droite des éléphants quand ils se dirigent vers la rivière pour servir boire Rutshuru trajet de l’eau. Mais l’ivoire exporté dans les villes et les clubs de pays voisins ainsi que sur les océans.

De nombreuses espèces du Parc national des Virunga sont en circulation disparu et sont vides raison de chasseurs, les trappeurs et les braconniers.

L'explosion démographique et la recherche de profits dans un court laps de temps toujours ainsi dans un temps plus court, ont contribué à la destruction de nombreux habitats naturels et de nombreuses espèces sont en voie d’extinction.

Avant la dernière forêt est détruite par les grandes entreprises en un temps record, les armes de braconniers et les trappeurs sont désormais illégal de chasser pour tout ce qu'ils peuvent trouver ou ceux qui meurent si malheureux dans leurs pièges. Pour tuer les animaux des êtres humains  sont pleins d’idées. Ils ont utilisé des armes de guerre et des pièges mis en place sur de grandes surfaces.

Généralement UECN travaille dans des conditions extrêmes dans des zones reculées où ils dépendent les communautés locales.

Notre promesse pour la faune

Dont la conservation de la faune dont l’UECN veut intervenir dans fond qui serait dans les promotions des projets de conservation à travers :

• Amélioration de la protection des populations d'éléphants, primates et autres en risque et en voie de disparition dans Parc National des Virunga ;
• Les efforts visant à réduire les conflits homme-faune ;
• Conservation de l'Habitat et de la gestion ;
• Région / gestion dans une importante zone protégée réserve faunique ;
• Renforcer la capacité de placer dans des programmes de conservation de la place;
• La conservation des éléphants transfrontaliers ;
• Le développement de technologies novatrices qui ont le potentiel d'améliorer la protection de la faune et l'utilisation de la gestion de l'habitat faunique ;
• Réduire la demande et les produits illicites d'ivoire.

L'éducation de la conservation aux consciences des communautés fait eu même de recherche appliquée et nécessaire pour informer la gestion et la protection des espèces et conduisant au traitement  des enquêtes et de la surveillance;

Seul l’éducation et sensibilisation la conservation développement seraient la mise en œuvre de plans de gestion pour la conservation et protection de la faune ;

L’AUTO-APPRENTISSAGE DE L’UECN

L’activité des montées, observations, suivis de l’état de biodiversité intéressant beaucoup les jeunes écologistes malgré leur bénévolat. Cette ambiance fut diffusée et à de rapports disséminés. UECN en collaboration avec d’autres organisations de base furent une et chantaient par tout, même à Buhoma. Les premières conditions pour les montées étaient au départ les règles d’hygiène axées sur l’état de santé. Les enrymés et autres malades n’avaient pas accès aux suivis. L’étude des mouvements fut suivi et maitrisée surtout en période pluvieuse (sept - oct. saisons des ananas sauvages et toute autre sorte de générescence).

LE CONSTAT DE LA BIODIVERSITE DANS SARAMBWE

Cependant l’animal envisagé n’était pas seul. Les chimpanzés, le singe à dos bleu, le babouin en abondance et plus divagateur, les petits singes, le magistrat, les petits herbivores comme le petit céphalophe blanc, une sorte d’antilopes de marrais. Il nous est arrivé même de tomber sur la crotte dans la quelle les os des perdrix, les tracer d’un carnivore les pièges pour le guépard, une diversité d’oiseaux dont les perroquets, le rat de Gambie….

La flore enrichie des fruits exotiques de fongeres ; de là la maitrise des mouvements des gorilles, la découverte de leur riches arrivée et retour, les familles et groupe solitaires

Nous nous efforçons de protéger la nature, aider les gens à vivre de manière plus durable et prendre des mesures contre le changement climatique. Nous passons beaucoup de temps à travailler avec les communautés,

Notre collaboration est basée sur des preuves scientifiques. Et nous pensons grand. Nous gérons un certain nombre d'initiatives au Québec qui requièrent un coup de main à la protection de l'environnement.

Pendant que notre initiateur multipliait des séances et contact de sensibilisation envers l’autorité militaire placée dans la périphérie de SARAMBWE, notamment l’autorité militaire ougandaise, certains réfractaires de la réserve ont profité de cette présence ougandaise pour trahir.

Les travaux du projet proposé doit avoir lieu dans la gamme de la faune africaine, ou, si le travail doit être effectué en dehors de la gamme, la proposition doit expliquer comment le travail sera bénéfique pour la faune sauvage en Afrique.

Dans nos propositions, nous allons identifier la survie immédiate des activités de conservation de la faune et le soutien direct d'éliminer ou de réduire ces menaces. Ce qui suit importantes populations d'animaux sauvages seront privilégiés:

Sarambwe Les célèbres Initiatives de printemps de la réserve de primates, Volet suivi les mouvements des gorilles et des primates autre SARABWE (UECN poumon appelé composant) est le fruit de suivi de l'endurance persistante et d'autres vont être maîtrisé sans aucun apprentissage. Ces réalisations nobles en tant que bénévole, sauront un peu de soutien de la communauté en encourageant ses membres Kisharu et autres antennes pour la bonne gestion de la faune primate,

Depuis quelque temps, nous assistons à la résurgence du braconnage et de la contrebande de troubles civils et de la récession économique, suivie d'une guerre civile dévastatrice ont affaibli le Parc  national des Virunga Sites du patrimoine mondial et l'un des animaux sauvages les plus diverses et les plus grands d'Afrique. Cette instabilité et le résultat de l'insécurité dans de graves répercussions sur l'environnement. Le braconnage pour alimenter les marchés de l'ivoire et de la viande de brousse, l'exploitation forestière, l'exploitation minière illégale et colonies illégales de personnes fuyant les conflits prennent un lourd tribut sur les ressources indigènes. C'est pourquoi, grand est le temps d'une nouvelle stratégie pour la gestion des ressources naturelles repose sur une gestion participative mis sur pieds et des alternatives de viande de brousse à être développés pour surmonter ce problème du braconnage.

Les écologistes de UECN montre activement les populations locales sont les gardiens comme efficace de l'environnement et de travailler d'une manière culturellement respectueux de veiller à ce que les compétences et les valeurs de conservation seront transmis aux générations futures

 Nous demandons que les acteurs de l'environnement pour voir comment aider en impliquant les organisations locales, les populations locales dans et autour de la zone protégée à une gestion durables montrant leur utilité et l'importance de cette aire protégée.

La gestion des ressources naturelles par les communautés permet de créer et de diversifier des sources de revenus pour les populations marginalisées, majoritairement les femmes. Elle crée des opportunités de développement de petites industries, et freine la déforestation en valorisant économiquement les produits forestiers. Les populations deviennent responsables de leur environnement, car elles en sont les gardiens officiels et les propriétaires désignés.

Structurellement, le programme présentait 4 composantes :

1. Promouvoir la création d’une zone régionale de développement durable et de conservation, dans le Parc National des Virunga ;
2. Contribuer à la réduction des processus de dégradation des forêts et des terres par la réalisation d’opérations pilote de développement économique local ;
3. Diffuser et valoriser les résultats et les expériences du programme;
4. Contribuer aux connaissances et informations relatives aux processus de déforestation et de dégradation des forêts, dans l’optique de présenter des programme REDD+ selon les orientations politiques nationales

http://www.proffac.com/2014/12/union-detude-pour-la-conservation-de-la.html

Contact mail du responsable à qui doit être envoyé la réponse et l’accusé de réception :

Jonas KAMBALE PANDASI

Assistant au Plaidoyer/UECN Conservation E-mail:uecn.en@vgmail.com Tel:+243998820850

+243995337150

Lieu : Parc National des Virunga (Secteur Centre)

Pour l’organisation UECN,

Jonas KAMBALE PANDASI

Assistant au Plaidoyer

'' Les résultats issus des études sur la feuille de route Gtcr depuis l'axe 1 jusqu'à 6 '', tel est le thème de l'atelier organisé le 12 août 2015 à Mbujimayi par le Groupe de Travail Climat Redd Gtcr Kasaï-Oriental en partenariat avec l'ONG Lacome.

Cette manifestation d'une grande importance a eu lieu dans la salle de réunion de CRONGD Kasaï-oriental. Une cinquantaine de participants venus de toute la province.

Pour le point focal Gtcr Kasaï-Oriental Serge Tshilewu, ces assises avaient pour objectif de mettre en place et proposer '' une bonne stratégie globale du Kasaï-oriental pour le Gtcr '', stratégie à présenter à l'atelier national du Gtcr prévu en septembre prochain à Kinshasa. Il s'agit en effet de la contribution des communautés locales, des peuples autochtones et des acteurs de toute la société civile environnementale regroupée au sein du Gtcr.

Dans cet atelier de Mbujimayi, les participants ont travaillé en trois commissions appelées à traiter des sous-thèmes respectifs ci-après :
- Diagnostic organisationnel du Gtcr
- Cartographie des compétences
- Évaluation du système de communication au sein du Gtcr.

A propos justement de la communication au Gtcr, l'ONG Médias verts a fait des propositions pertinentes susceptibles d'améliorer ce secteur. Elle a proposé entre autres la mise sur pied d'une cellule de communication dotée de tous les moyens nécessaires au sein du comité du Gtcr. Un plan de sensibilisation prévoyant des actions à mener devra également être mis en place.

Au chapitre des recommandations, les participants ont proposé, :
- la mise en place des organes statutaires du Gtcr (comité de pilotage) ;
- l'élaboration du plan d'activités.

A la fin des travaux, un consensus a été dégagé pour que 3 délégués désignés parmi les participants aillent représenter le Gtcr Kasaï - Oriental à l'atelier de Kinshasa au mois de septembre.

Les personnes désignées sont Serge Tshilewu, Dieudonné Tshimpidimbua et Micheline Mujinga, respectivement point focal Gtcr Kasaï - Oriental, Coordonnateur de CRONGD et membre de l'ONG Lacome.

                                                                  Médias verts, Placide Ntumba

Grand atelier de consultation des communautés locales sur le projet de réforme de la loi foncière en Rdc.

Cet atelier, organisé conjointement par les ONG Codelt et Lacome, s'est tenu le vendredi 17 juillet 2015 à Bena Luanga en territoire de Miabi au Kasaï- oriental.

Sous la direction de l'expert Augustin Mpoyi de l'ONG Codelt assisté par Serge Tshilewu Coordonnateur de Lacome, l'atelier a réuni la communauté locale de Bena Luanga.

Auguy Mpoyi a expliqué la nécessité pour les '' Colos'' et les '' PA'' de participer à la mise en place de la nouvelle loi foncière en Rdc. Selon lui, la dynamique internationale actuelle en matière de jouissance de terre exige que les populations locales expriment elles-mêmes leurs attentes pour être intégrées et prises en compte par le gouvernement dans l'élaboration de la nouvelle loi foncière.

Pour Auguy Mpoyi, les acteurs du projet carbone dans le monde n'aiment pas les conflits, surtout les conflits de type coutumier ou foncier. Il faut a-t - il dit que les terres des communautés locales soient sécurisées par la loi. Même chose également pour les terres qui font l'objet des contrats de concession.

Un questionnaire a même été proposé dans ce sens pour permettre à chaque membre de la communauté de Bena Luanga d'y répondre en donnant son avis. La raison de cela est simple: un vaste projet carbone est entrain d'être réalisé à Bena Luanga par l'ONG Lacome en partenariat avec Codelt.

Plus de 50 hectares d'arbres capteurs de carbone ont déjà été plantés par Lacome dans le cadre de son projet de polygone agroforestier,  formant ainsi une vaste forêt artificielle. Ce qui permet déjà de contribuer efficacement à la lutte contre le réchauffement climatique.

Ce projet agroforestier de Bena Luanga est unique en son genre dans toute la province du Kasaï - Oriental. Maître Auguy Mpoyi souhaite que ce projet dure pour toujours et soit le moteur de développement pour les communautés locales et générations futures.

Il a promis de tout mettre en oeuvre pour que le moment venu, la population de Bena Luanga puisse avoir sa part de dividende dans ce projet. Les dividendes à tirer pourraient être des réalisations d'intérêt général telles que les écoles, les centres de santé, les marchés modernes, etc.

Les communautés locales se sont montrées très satisfaites des initiatives de Codelt et Lacome. 

Envoyé le : Dimanche 28 juin 2015 15h56 > Objet : Fwd: COMPTE RENDU DU COMITE AD HOC SUR LES ECHANGES EUES DANS LE > CADRE DE LA FEUILLE DE ROUTE ET PERSPECTIVE D'AVENIR. > > > > Chers tous, J’aimeraivous partager les informations sur les différentes > séances de travail que nousavons eu la semaine du 22 au 26 juin 2015.

Ce > session de travail se sontdéroulées entre la RFN-PNUD-Personnes Ressources > GTCR-ERND-RRN et Comité ad hocGTCR et aussi à l’occasion vous proposer > l’agenda du travail qui nous conduiraà l’atelier national qui clôture la > feuille de route NGANDA. > - Le Lundi 22 juin 2015 au RRN (Présents : Gunnell, Marine, Julien, > Dorothée, Rigobert, Guy) : nous nous sommes plus concentrés sur le partage > d'expérience sur les missions de suivi faites par les Membres du Comité ad > hoc, le choix de participants aux ateliers provinciaux axe 5 & 6, la > réprésentativité et l'organisation des entretiens individuels, focus groupes > et ateliers provinciaux, la collaboration entre le membre du comité et le > consultant (apport des membres du comité),

Nous avons parlé de l'axe 4 qui > est déjà lancé par Pnud sur médiacongo et prendra fin le 2 juillet 2015. > Echange sur l’Atelier National et les participants qui viendraient des > provinces et comment organiser la logistique de cette activité. > > - Le Mardi 23 juin 2015 au 7ème niveau au Pnud (présents : Marine, > Gunnnell, Rigobert, Dorothée, Anny, Espoir, Serges, Félicien, Bienvenu) : > Echanges sur Skype avec UN REDD/Nairobi sur l’évolution de la feuille de > route GTCR et les différents enjeux de la REDD+ en RDC, échange sur la COP21 > et nécessité de faire largement participé les acteurs de la société civile.

> La plupart des partenaires techniques et financiers attendent effectivement > la réunification du GTCR si celui-ci veut développer des ambitions > d’implémenter la REDD+ auprès des communautés locales et Peuples > autochtones. > > - Le Mercredi 24 juin 2015 au RRN (Présents : Marine, Gunnnell, Rigobert, > Dorothée, Alain, Guy) : les échanges ont plus tournés autour des points > suivants : l'atelier national, du budget, critères de choix des > participants, le plan de travail, les termes de références. Ces points > seront plus détaillés vers la fin. > > - Vendredi 26 juin 2015 séance de travail avec les consultants de l’axe 5 > & 6 pour harmonisation et finalisation de leur rapport final. > Tel que discuté avecles Partenaires et le Comité ad hoc à la fin des toutes > les rencontres, undraft de Termes de Référence de l’atelier national, dont > une proposition deprogramme et une définition des critères de participation, > sera développé parle Comité Ad Hoc d’ici le 5 juillet.

Les consultants et > partenaires serontinvités à le commenter pour parvenir à une version finale > à distribuer enprovince le 10 juillet. Voici les premierséléments de > réflexion quant à l’atelier que nous avons développés avec lespartenaires > (RFN et PNUD). Critères pour lesreprésentants des 11 provinces + future > province de Maindombe (à validerdans les TdR)- 3 personnes par > province hors Kinshasa (PA, Femme, Homme – dont unjeune) : 33 > personnes- 6 délégués de Kinshasa (choisi démocratiquement lors des > échanges avecle grand groupe)- Pasplus de deux personnes du même > réseau par province- Pas plus d’une personne par structure par > province-

Au moins une des personnes ayant participé à la > consultation de l’axe5/6 dans chaque province Participeront > également : - Les membres du comité : 6 personnes- > Lespersonnes-ressources : 4 personnes- Les partenaires : RFN (2) > PNUD (1)- Lesconsultants internationaux : 2 TOTAL : 54 Mode de > sélection - Les critères sont validés par le comité ad hoc au 10 > juillet- Ilssont envoyés aux provinces le 10 juillet- Les > provinces constituent leur liste et l’envoient au comité avant le > 25juillet-

Lesinvitations nominatives sont envoyées le 30 > juillet- Tout remplacement en cas d’indisponibilité est soumis à la > validationpar le comité ad-hoc Partage des documents stratégiques- A > l’ensemble des membres du GTCR, personnes consultées, partenaires le30 > juillet (stratégie et structure) et le 15 août (plan de communication) Tenue > de l’atelier- L’objectif est de présenter les résultats de la > feuille de route,présenter la démarche, les approches et les défis, choisir > la stratégie et lastructure qui convient le mieux au GTCR selon les enjeux, > et développer unefeuille de route de mise en œuvre des résultats de la > restructuration- 3 jours, du 1er au 3 septembre 2015- > Journéepédagogique le 31 Août (Comité ad hoc, Well Grounded, > partenaires,gestionnaires des fonds)-

Une première matinée le 1er > septembre de renforcement decapacité sur la gouvernance participative, la > confiance, la participation, latenue d’assemblées générales…- > Résidentielpour l’ensemble des participants (si possible, > Nganda)- Pas de perdiems- Rapportage par les membres du > comité et/ou les participants à l’atelier- Modération et > Facilitation par Well Grounded Meilleurs salutations et larges diffusions ! > -- > Kabalako Mbuku julien > > Porte Parole du comité de suivi ad hoc GTCR > Economiste (Project Manager) & environnementaliste > Assistant en Passation des Marchés > Expert en Evaluation Stratégique Sociale et Environnementale, Gestion des > Risques > Membre du Comité de suivi de risques et co-bénéfices sociaux et > environnementaux REDD+